» Monsieur Paul » à l’honneur sur le Figaro » Un demi-siècle au firmament de la Gastronomie «
26 déc 2015
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» Voilà maintenant un demi-siècle que le chef Paul Bocuse s’impose comme la figure tutélaire de la gastronomie française. Portrait de celui qui a fait rayonner notre patrimoine culinaire à travers le monde « , c’est ainsi que Monsieur Paul fait la première page du supplément » Le Figaro et vous » de ce Week-end d’après Noël.
Colette Monsat dresse le » Portrait d’un mythe planétaire « , et explique comment, sans internet, ni réseaux sociaux Paul Bocuse à su conquérir le monde et imposer la cuisine française comme la référence mondiale de l’excellence.
» Aujourd’hui Monsieur Paul est âgé, malade, et il n’accueille plus les clients comme il l’a fait pendant des décennies, impeccablement sanglé dans son tablier immaculé au col tricolore et ceint de sa toque XXL, celle là même qui lui permettait d’être le plus grand sur la photo ! À presque 90 ans – il est né le 11 février 1926 -, Paul Bocuse ne quitte guère plus ses appartements et ce sont ses chefs qui respectueusement, affectueusement, lui concocte chaque jour ses plats préférés. »
» Car si le corps est usé, fatigué, le palais est resté par miracle intact et le vieux chef, toujours capable de se régaler. Au soir de sa vie, Monsieur Paul peut être fier du chemin accompli. Car il demeure, aux yeux de tous, le parrain, celui qui a le plus oeuvré pour la cuisine française, à travers le monde. «
Trois dates importantes pour maître Paul : Sa naissance en 1926, l’obtention de sa troisième étoile au guide Michelin en 1965, l’inauguration de la Fondation Paul Bocuse en 2004.
» Boulimique de travail, il à bâti un empire à travers le monde, avec ses restaurants, ses brasseries, son complexe Orlando en Floride, mais aussi l’Institut de cuisine à Ecully, la Fondation, le concours international du Bocuse d’Or, les livres, le produits dérivés … «
» Et surtout un amour immodéré des beaux produits, ceux de sa région toujours. C’ait d’ailleurs grâce à lui que les Saint-Marcelin de la mère Richard, la rosette de Colette Sibilia, les volailles de Bresse des bassin, les chocolats de Philippe Bernachon ont désormais une renommée internationale. «
Lisez l’édition du 26 décembre 2015 du Figaro pour retrouver l’article dans son intégralité.