» La Courtisane au chocolat » – Mendl’s la pâtisserie du The Grand Budapest Hôtel fait le Buzz
24 fév 2015
Catégorie : Pour le Fun, Presse & Médias, Tendances, videos
Zéro le Lobby Boy du Grand Budapest hôtel tombe follement amoureux d’Agatha, la jolie apprentie pâtissière de chez Mendl’s, son arme de séduction » La Courtisane au chocolat « , elle excelle dans la réalisation de sa spécialité de la maison, une gourmandise qui ressemble à une religieuse. … c’est un peu ce qui a fasciné F&S dans le film qui sort cette semaine sur les écrans en France.
L’histoire se passe dans un hôtel, l’univers des Clés d’Or y est très représenté… M. Gustave le personnage principal vous amène dans l’univers des Palaces et de l’hôtellerie de luxe au moment de la deuxième guerre mondiale.
Télérama dira : » La grande tenue de M. Gustave, son extrême politesse, son excentricité sexuelle (« Je couche avec tous mes amis ! »), le nuage de parfum qui l’entoure (« L’Air de panache », en français dans le texte) : autant de remparts dérisoires contre la brutalité en marche. Parfois un miracle se produit : le chic s’offre une petite victoire temporaire. Quand M. Gustave se retrouve injustement incarcéré, les gardiens qui contrôlent les colis des prisonniers en éventrant les victuailles renoncent soudain à leur vigilance, face aux merveilleuses, aux délicates pâtisseries Mendl’s, fournisseur attitré du Grand Budapest… L’élégance sans faille d’un artisanat pour conjurer l’obscurité : c’est tout le charme, une fois encore, du cinéma de M. Wes. »
Le Grand Budapest Hôtel, c’est la dernière grande production cinématographique de Wes Anderson, d’ailleurs le film a obtenu le seul Oscar Français Hollywoodien de cette année pour la bande musicale d’Alexandre Desplat, l’occasion de revenir sur ce film où une pâtissière a séduit le monde.
Le roi du film fantaisie Wes Anderson, a frappé très fort avec sa comédie burlesque, le réalisateur s’est fait un nom à Hollywood pour son style et son sens inné du décalage, ouvrant grand son coffre à jouets en compagnie d’une joyeuse troupe de plus en plus élargie.
Vous ne pourrez oublier les deux personnages essentiel au film, Zéro Mustafa le Lobby Groom et Agatha la pâtissière, celle qui réalise avec un tour de main incroyable les petites pâtisseries fourrées à la crème appelées « courtisane au Chocolat ». Depuis la sortie du film, cette pâtisserie fait le tour du monde et crée le buzz.
Selon le producteur du film Jeremy Dawson, la pâtisserie » faisait partie de l’histoire depuis le début. », ils ont demandé au boulanger local de Gorlitz, en Allemagne, où le film a été tourné, de créer un gâteau quelque peu semblable à une classique Religieuse. Ensuite le réalisateur Wes Anderson a travaillé avec le boulanger pour parfaire le look final, coloré et ludique.
Le personnage de Herr Mendl est un pâtissier/boulanger de fiction, vu qu’il ne pourrait jamais donner la vraie recette secrète pour sa confection, l’équipe d’Anderson a été assez aimable pour livrer la version imaginée par Müller, voyez la vidéo…
Les premières minutes du film présentent un écrivain interprété par Jude Law, qui fait un séjour dans l’hôtel, devenu désertique et mal entretenu. On lui apprend que le propriétaire est un vieil homme très secret, qui loge dans une petite chambre de groom au dernier étage du bâtiment. L’écrivain finit par rencontrer l’excentrique vieil homme. Ce dernier l’invite alors à un dîner pendant lequel il lui raconte son parcours dans le Grand Budapest. Cette partie mélancolique laisse donc la place à une sous-intrigue beaucoup plus enjouée, et c’est cette sous-partie qui constitue le noyau du film. Le coeur du film est donc une intrigue policière déjantée, mêlant un mystérieux tableau volé, un tueur assoiffé de sang, des héritiers cupides, et un complot dont est victime le maître d’hôtel magistralement interprété par Ralph Fiennes.
Chez le réalisateur Anderson, l’esthétique est partout, chaque image apporte un nouvel élément pictural dans ce grand puzzle. L’univers est imaginaire, il vous emporte dans un conte pour enfant fait pour les adultes . C’est somptueux, et malgré l’histoire – très basique – chaque scène prend une certaine ampleur. On découvre que tout ce noyau frénétique, plein de poursuites et de personnages truculents, était un habile moyen de créer un vertige entre un passé heureux et un présent sombre et mélancolique.
Je ne suis pas une recéleuse …. je suis une pâtissière !
Mendl’s … la pâtisserie fournit l’hôtel occupé par les troupes allemandes…
Le propriétaire Herr Mendl…
Agatha l’apprentie pâtissière !
La pâtisserie est au centre de l’intrigue…
Le pitch : Zéro Mustafa fait de son mieux pour aider son patron. Grâce à sa fiancée, Agatha, il cache des burins et marteaux miniatures dans les pâtisseries : ils serviront à creuser un tunnel pour s’évader. Les gardiens qui contrôlent les colis des prisonniers en éventrant les victuailles renoncent en effet à leur vigilance, face aux merveilleuses, aux délicates pâtisseries Mendl’s, fournisseur attitré du Grand Budapest.
Tellement le buzz fut énorme, de nombreuses pâtisseries ont repris » La Courtisane au Chocolat » dans le monde.
Ci -dessous quelques exemples de FAUX ….
Plusieurs versions de » La Courtisane » ont été déclinées dans de nombreuses boutiques…