Alain Ducasse devrait ouvrir trois nouvelles tables à Londres
16 avr 2014
Catégorie : Bonnes adresses, Chefs, Presse & Médias, Tendances
Alain Ducasse aime Londres, à tels points qu’il envisage d’y ouvrir 3 nouvelles tables. À l’occasion de la sortie du livre » J’aime Londres – 100 culinary destinations for food lovers « , publié cette semaine en version anglaise par Hardie Grant Books sur le marché anglais, le chef fait quelques confidences à Bloomberg.net. Extraits …. ( cliquez sur le LINK pour retrouver l’article d’origine dans son intégralité ).
Photographer : Richard Vines/Bloomberg
Alain Ducasse indique lors de l’interview qu’il accorde à la presse au restaurant – Alain Ducasse at the Dorchester – ( son seul restaurant dans la Capitale anglaise pour le moment ), qu’il prépare avec ses équipes l’ouverture deux autres restaurants à Londres.
Le premier se sera l’enseigne de restaurant Rivea que l’on trouve déjà à Saint-Tropez, l’ouverture est prévue tout prochainement dans l’Hôtel Bulgari. L’Italie et la Provence au programme donc le tout dans un cadre informel et cossu.
Pour le deuxième endroit, il déclare ne pas l’annoncer pour l’instant, même si des rumeurs affirment que le Groupe Ducasse pourrait prendre en charge le grill du Dorchester.
Mais il ne s’arrête pas là, il dit qu’il verrait bien l’ouverture également d’un restaurant sous l’enseigne – Benoît – à Londres, il l’envisage même.
Durant quelques années le chef Alain Ducasse avait posé son enseigne » Spoon » à Londres dans l’hôtel Sanderson, ouvert en 2000 il fermera finalement en 2007.
Lors de l’interview, le chef cite Brett Graham ( The Ledbury ) et Jason Atherton ( Pollen Street Social ) comme deux chefs qu’il admire au Royaume-Uni.
Nous apprenons aussi qu’il aime la – diversité – de Londres, c’est une scène alimentaire non seulement pour la nourriture, mais aussi pour l’atmosphère, comme à New York. La nourriture est seulement une partie de l’expérience, le reste compte aussi, l’ambiance, le service, la musique, le sentiment, la conception, l’harmonie… déclare t’il.
Quant à Paris ça reste pour lui la capitale de la gastronomie, mais au final il dit » Il n’y a pas de concurrence entre les villes parce qu’elles sont toutes différentes. Nous ne cultivons pas les mêmes histoires, pas les mêmes visions ».