Après les restos… les hôtels … Une nouvelle génération décomplexée ouvre des hôtels stylés … » surtout sans passer par la case École de Lausanne » déclare la journaliste
22 mar 2014
Catégorie : Bonnes adresses, Pour le Fun, Presse & Médias, Tendances
Voici un article repéré par une de nos internautes qui ne manque pas de sens, de pertinence ou de non-sens… Après la restauration qui s’est totalement décomplexée en l’espace de 4/5 ans sur Paris, voilà maintenant l’hôtellerie parisienne qui se dirige vers une hôtellerie différente qui sort des codes établis dans des standards internationaux et beaucoup plus personnalisée. D’ailleurs Londres, New York, San Francisco, Miami… s’y sont mis depuis longtemps.
Lisez ci-dessous ou cliquez sur le LINK pour retrouver l’article sur le site des Échos.
Par Alice D’orgeval
L’hôtellerie de Paris a longtemps trop dormi, sans doute épuisée par le grand écart de ses nuits, partagée entre petit confort de préfecture et grande classe palace. Au milieu des extrêmes, Paris restait un désert.
Mais quelques coups de pioche suivis d’une bonne douche d’étoiles sont venus métamorphoser la Ville Lumière en une nouvelle galaxie… La standardisation aux oubliettes ! Depuis les années 2000, grâce à l’impulsion d’une Putman, d’un Starck ou d’un Garcia, entre autres, le métier d’hôtelier a pris du grade, et s’encanaille. L’hôtel septième ciel du design ?
Beaucoup mieux, un paradis urbain pouvant réunir tous les attributs du chic parisien. Cette nouvelle génération décomplexée et débarrassée des codes de l’hôtellerie de luxe s’appelle Le Five, le Seven, le O, le Thoumieux, l’Hôtel Amour, l’Hôtel du Temps… Leurs tôliers sont principalement graffeur (André), styliste (Alix Thomsen), baron de la nuit (Lionel Bensemoun), chef (Jean-François Piège), designer (Ora Ito).
Comment être cool en 2014 ? Ouvrez un hôtel mais surtout sans passer par l’Ecole de Lausanne. Enfin, que les snobs s’accrochent fort, dans cette nouvelle « skyline » étoilée, d’autres contrées que celles de la brochette – Rive gauche Rive droite – ont désormais le droit de cité.
Voilà la famille Trigano ouvrant le bal dans le 19e (le Mama Shelter). Percées à suivre à Montmartre (L’Hôtel Particulier), sur le Canal (Le Citizen) et même au coeur du chaudron Strasbourg – Saint-Denis (le Paradis et le Edgar, photo ci-dessus). Bonne nuit.
fabre
22. mar, 2014
Bonjour,
fidèle lecteur de votre blog, ancien salarié du groupe Pourcel, et diplômé de Lausanne, je trouve cet article complètement inepte quand à ses remarques sur Lausanne. C’est bien mal connaitre cette école de croire qu’ elle est enkysté dans un traditionalisme moribond, en effet celle ci prône auprès de ses étudiants une remise en question perpétuelle face aux valeurs traditionnelles de l’hôtellerie-restauration. Cette remise en question n’étant possible bien sur qu’une fois les codes traditionnels maitrisées.
Aujourd’hui vous retrouvez les alumnis (anciens) de l’EHL sur tout les nouveaux supports de l’hôtellerie-restauration: food truck, néo bistrot, boutique hôtel design… ce qui montre bien leurs bonne perception des tendances et leurs adaptations à l’air du temps.
jacques
22. mar, 2014
Le débat est ouvert…
Les journalistes catégorisent trop …
Lausanne représente de loin ce qu’il se fait de mieux en formation dans tout l’univers food et hôtel…
Mais faut savoir accepter la controverse et prouver le contraire …
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