Sur le magazine Le Point G. Pudlowski s’engage : Ducasse, le patron
10 mar 2014
Catégorie : Actualité Chefs & Restaurant, Chefs, Presse & Médias
Lors de la fête organisée par le chef Alain Ducasse au restaurant le Jules Verne, le journaliste et chroniqueur gastronomique Gilles Pudlowski nous révèle quelques informations sur cet événement passé un peu inaperçu mais qui honore d’une belle façon le chef Paul Bocuse. Nous avons aussi relevé que le journaliste (sur le Magazine Le Point en ligne) insiste bien et positionne le chef A. Ducasse comme le Patron de la gastronomie française et l’héritier du maître Paul Bocuse. Ce n’est finalement pas une information anodine, une nouvelle histoire de la gastronomie française se prépare donc maintenant, incontestable dans ce nouveau rôle, le chef aidera sans aucun doute à faire bouger et à redéfinir les codes d’une gastronomie en pleine mutation.
Comme d’hab, lisez ci-dessous et cliquez sur les LINK pour retrouver l’article dans son intégralité…
Gilles Pudlowski : Ducasse über alles
Il réunit tous les grands chefs français autour de Bocuse, continue de promouvoir son chocolat et publie un « anti-Michelin » de Londres. Nul ne peut échapper à Alain Ducasse.
Ducasse, le patron
Ils étaient là, tous ou presque, mardi 3 mars : la plupart des trois étoiles français (sauf quelques irréductibles comme Georges Blanc, Michel Troisgros, Anne-Sophie Pic, Pierre Gagnaire, Michel Bras ou Alain Passard), des étrangers (comme les Santini du Dal Pescatore à Canneto-sul’Oglio en Italie), les grands chefs de partout, la bande à Bocuse, les amis du vin …/… , les gens de la presse et du Michelin (ceux d’hier, comme Jean-François Mesplède, ou d’aujourd’hui, tel Michael Ellis).
Le but du déjeuner ?
Fêter les 50 ans de trois étoiles de Bocuse à Collonges-au-Mont-d’Or, avec un repas orchestré par les deux adjoints de ce dernier, Christophe Muller et Gilles Reinhardt, associés à l’équipe du Jules-Verne. Oeuf coque aux champignons, …/… : bref, du bon, du beau, du Bocuse, revu, majestueusement, à la sauce Ducasse. Avec de la franchise, de la fraîcheur, de la belle humeur. Malgré l’absence de M. Paul lui-même, actuellement en convalescence près de chez lui, à fleur de Saône, dont le message a été lu par l’académicien gourmet Xavier Darcos.
On était gai, on était heureux, on pensait affectueusement à lui. Et, posant à l’entrée devant la collection de guides Michelin enserrés dans une malle Vuitton ouverte ou avec l’équipe de Bocuse, assurant la transition des générations, Alain Ducasse faisait la démonstration éclatante, devant son brillant parterre, qu’il était devenu le parrain incontesté de la grande cuisine française et l’héritier naturel du grand Paul.
Pour suivre Gilles Pudlowski au quotidien, voir son blog Les pieds dans le plat