Morro de São Paulo au rythme du soleil et de la Fiest
08 jan 2008
Catégorie : Actu Pourcel étranger, Events & Party
Première occupation le matin, sur l’île de Morro de São Paulo, se renseigner pour savoir où va se passer la soirée la plus déjantée du soir. Il faut aller piocher les informations auprès des bars et des jeunes qui ne sont pas encore couchés. Car tous les soirs dans l’île une fête est organisée, reste à savoir dans quel lieu retiré, sur quelle plage ! Déjà la veille, la rumeur se fait persistante, il est donc facile de trouver l’info. À partir de 18 heures, les bars se mettent en place tout le long de la plage principale du village, chacun d’entre eux expose une multitude de fruits frais qui serviront à préparer les cocktails à base de vodka, caïpiroska ou caïpirinha… Premier rendez-vous, c’est d’aller observer dès 17 heures (sinon vous n’aurez pas de place) le coucher du soleil au bar le « Mora » qui surplombe la mer et d’où l’on devine la côte du continent au loin. C’est un moment exceptionnel qui se mérite, car pour vous y rendre vous devrez grimper indéfiniment les côtes du village. C’est là que se retrouvent tous les jeunes touristes et locaux, allongés sur des tapis de bambous, sur de larges coussins, sur les banquettes toutes blanches, ou autour du bar central, un verre à la main, sous les grands arbres qui vous protègent encore du soleil. C’est au rythme d’un remix du « Café Del Mar » que vous découvrirez dans une ambiance « Peace and Love » le ciel s’orner de rouge et le soleil disparaître pour laisser la place à une nuit étoilée. Vous pourrez déguster jus de fruits frais locaux, notamment de mangues exceptionnelles, toutes sortes de cocktails, une note française avec des crêpes, mais aussi des salades, le tout pour quelques maigres réals (monnaie locale). Vers 20 heures, le lieu se vide, c’est le moment de rejoindre la plage, car c’est là que retentit la musique. Encore qu’il ne soit pas sûr que vous ne reveniez pas, car une fois par semaine c’est ici que vous passerez la nuit au son d’un DJ.